Le St-Esprit m'a dit de refuser ce pronostic et de proclamer des paroles de vérité!
Témoignage : Le Seigneur a réalisé tellement de bénédictions dans ma vie.
En 2015, j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari et nous nous sommes mariés un an plus tard. Puis, moins d'un mois après notre union, je suis tombée enceinte. Peu de temps après, pendant ma grossesse, mon mari a commencé à faire des cauchemars concernant la santé de notre enfant. Bien qu’il n'ait jamais voulu me dire en détail de quoi il s'agissait, nous avions décidé de prier pour que seul le plan de Dieu se réalise.
Lorsque j'ai commencé les premiers examens de suivi de grossesse, les choses se sont compliquées. Nous avions décidé de ne pas faire le test de dépistage de la trisomie 21 proposé par le gouvernement du Québec. Mais une fois sur place, mon obstétricienne n’a pas compris pourquoi nous refusions ce test. Dans son questionnement, elle a semé le doute en moi et après m’être entretenue brièvement avec mon mari, nous lui avons dit que nous allions y réfléchir. N'ayant pas pris le temps de comprendre notre choix, elle a coché sur son formulaire que nous allions faire le test et nous a donné un numéro pour prendre rdv à l'hôpital, pour la première échographie et pour le test en question.
Après avoir pris le temps de prier avec mon mari, nous avons finalement décidé de faire le test. À la première échographie, en voyant notre bébé, je savais qu’il allait bien, mais les résultats du test de trisomie sont venus semer le doute en nous. Le jour de l’annonce des résultats, j'étais allée seule chez l’obstétricienne, car mon mari travaillait. Je me souviens que je ne cessais de prier (discrètement) en langues dans la salle d’attente et je voyais chaque patient être appelé pour la consultation, tandis que mon tour tardait à venir. Un mauvais pressentiment commençait donc à s’installer.
Après que tout le monde soit passé, et juste avant la fermeture de la clinique, j'ai enfin été reçue par l’obstétricienne qui, sans détour, m’a annoncé que nous avions un risque très élevé d’avoir un enfant malade et m'a fait connaitre les options qui s’offraient à nous. Une fois seule dans la voiture, j’ai appelé mon mari et me suis effondrée au téléphone. Mais le Seigneur m’a vite ressaisie par son Esprit qui me disait de refuser ce pronostic et de proclamer des paroles de vérité, ce que j'ai fait.
Avec mon mari, nous avons ensuite décidé de ne pas faire de test plus poussé, mais de faire confiance à Dieu en persévérant dans la prière. Un jour, alors que j’allais au travail en écoutant un enseignement, j'ai reçu la réponse du Seigneur : Jésus a délivré notre enfant de la malédiction de la loi, par Son sacrifice à la croix. Cette fois j’en étais convaincue. Avec mon mari, nous étions convaincus que notre enfant se portait bien, nous avons donc cessé de prier pour demander au Seigneur de protéger notre enfant des attaques de l'ennemi et nous avons commencé à louer l’Éternel, pour ce qu'Il avait déjà accompli.
Ma fille Seyram (qui signifie que Dieu l’a bénie) est née en pleine santé, le dimanche de Pâques, avec un poids de 4,2 kg. Gloire à Jésus !
JCE