Guérison de la thyroide
En novembre 2014, je devais passer une panoplie d’examens médicaux. Les résultats ont révélés que j‘étais en hypothyroïdie (taux de 4.59). Le médecin endocrinologue m’a dit de ne pas m’inquiéter car cela était une condition médicale très fréquente chez les femmes et que je devrais prendre du Synthroid toute ma vie. Dans mon cœur, je me suis dit «impossible! Pas moi enfant de Dieu». J’ai demandé au médecin endocrinologue de refaire les tests, car je croyais que les résultats étaient faux.
Le médecin a refusé et m’a prescrit Synthroid 0.5 mg. J’ai commencé à prendre la médication, mais sans conviction. Toutefois, sachant les risques associés, j’ai pris la décision de les prendre, jusqu’à ma guérison complète. Après 1 mois de Synthroid, je fis une prise de sang et retournai voir l’endocrinologue.
Mon taux était maintenant approximativement à 0.01. L’endocrinologue m’a dit que je répondais bien au médicament et ne désirait plus me revoir pour ce sujet. Sa recommandation: Prendre la médication pour le restant de mes jours. That’s it ! Je l’ai questionné sur le taux qui est drôlement bas et qui me positionnait plutôt en hyperthyroïdie…mais il ne semblait pas être très intéressé.
J’ai donc été voir mon médecin de famille pour lui exposer la situation. Elle était surprise et m’a recommandée de faire une autre prise de sang. Elle ne comprenait pas que l’endocrinologue m’ait prescrit du Synthroid sans faire de suivi. La prise de sang recommandée par mon médecin de famille indique encore un taux très bas.
Donc, elle me prescrivit une baisse de médication à Synthroid 0.25mg et une prise de sang à faire prochainement. Le 8 avril 2015, après une semaine de Synthroid 0.25mg, le Seigneur mis sur mon cœur, d’arrêter complètement de prendre les médicaments. Je le fis donc avec assurance et confiance en lui.
Le 21 juillet 2015 (après avoir fait une autre prise de sang) je retournai voir mon médecin de famille qui m’annonça joyeusement que la dose de 0.25mg est la bonne et que mon taux est normal : ni trop bas, ni trop haut. Je lui annonce joyeusement à mon tour, que depuis le 8 avril 2015 je ne prenais plus de médicaments! Glory to God !!!!! Notre Dieu est fidèle. Il guérit et restaure nos corps.
Anne Kernisan J-F
N.B : Ce témoignage n’est pas un appel à tous ceux qui prennent un médicament d’en arrêter la prise systématiquement. Il faut écouter Dieu et toujours agir selon ce que nous avons reçu de lui.